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Devant des députés UMP en colère, le ministre de l'Intérieur a affirmé mercredi qu'il n'était pas question de renoncer à supprimer les panneaux prévenant de l'emplacement des radars ni de revenir sur l'interdiction des avertisseurs de radars.
Ils ont eu beau crier à la sortie de route gouvernementale, ils n'ont pas réussi à faire plier Claude Guéant. Une centaine de députés UMP avaient rendez-vous avec le ministre de l'Intérieur mercredi midi pour lui faire part de leur mécontentement au sujet de certaines mesures prises la semaine passée en Comité interministériel pour renforcer la sécurité routière(lire Radars : des UMP demandent à l'Etat de lever le pied) . Ils dénoncent notamment la suppression des panneaux prévenant de la présence de radars fixes et l'interdiction programmée des avertisseurs de radars.
Mais la réponse est tombée comme un couperet. "La décision, c'est bien d'enlever les panneaux ! Elle n'est absolument pas remise en cause", a déclaré Claude Guéant. "Cela étant, le gouvernement a pleinement conscience qu'il (faut) faire de la pédagogie de cette mesure et l'accompagner de moyens d'informations supplémentaires pour que l'automobiliste soit aidé à respecter les limites de vitesse", a-t-il dit. Le gouvernement ne reviendra pas non plus, a insisté le ministre de l'Intérieur, sur l'interdiction des avertisseurs de radars. "Il ne s'agit pas d'embêter les gens" avec ces mesures mais de lutter contre l'insécurité routière, a affirmé le ministre de l'Intérieur.
"On est foutu (...) avec ça, on a perdu les élections"
Parmi la centaine de députés UMP présents à cette réunion, la grande majorité d'entre eux sont repartis très mécontents. "Ca ne nous convient pas! Nous n'en resterons pas là", a prévenu Alfred Trassy-Paillogues en promettant des "actions". "Le racket, ça suffit!", a lancé Bernard Depierre. "On est foutus! Vos mesures, c'est une catastrophe électorale. Avec ça, on a perdu les élections", a lâché, au cours de réunion à huis clos, Jean Auclair, selon des participants.
Les fabricants d'avertisseurs de radars sont eux-aussi mobilisés. Réunis au sein de l'Afftac, ils ont donné des rendez-vous aux automobilistes, mercredi, dans plusieurs villes de France, pour remplir une lettre de protestation adressée à l'Intérieur.
Source : LCI
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Je ne sais même plus quoi dire,ça me dégoûte...
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Donc monsieur S. est un peu notre "petit suisse" ....
En gros certain pensent qu'on s'est fait Berné....
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